Un an après l’atroce accident de chasse de son père, un trentenaire anxieux et désillusionné retourne sur les terres dont il a hérité pour un hommage insolite rendu par des chasseurs locaux. Menacé par un énigmatique étranger mais résolu à confronter ses cauchemars récurrents, Éloi s’engage sans le savoir sur la piste du Monarque, le roi du bois qui, paraît-il, détient la clé du Mystère.
PRIX
Meilleur premier long métrage canadien
Vancouver Film Festival, Canada, 2022
Prix du jury jeune
Festival du film Canadien de Dieppe, France, 2022
SÉLECTIONS
FNC - Festival du nouveau cinéma, Canada, 2022
Vacouver Film Festival, Canada, 2022
Festival du film Canadien de Dieppe, France, 2022
Festival International Canada Chine, Canada, 2022
FCVQ - Festival de cinéma de la ville de Québec, Canada, 2022
Cinema on the Bayou, USA, 2023
Réalisation : Albéric Aurtenèche
Scénario: Albéric Aurtenèche
Interprétation: Emmanuel Schwartz, Sarah-Jeanne Labrosse, Gilles Renaud, Reda Guerinik, Adrien Bletton, François Papineau, Martin Dubreuil
Direction photo: Ian Lagarde
Son: Marcel Chouinard, Patrice LeBlanc, Olivier Germain
Montage: Elisabeth Olga Tremblay
Musique originale: Roger Tellier-Craig
Production: Sylvain Corbeil
Version
Originale: français
Sous-titres: anglais
Format
4:3 (1:33) / 5.1
DCP, Pro Res
Né à Paris, immigré très jeune à Montréal, Albéric Aurtenèche a étudié alternativement dans ces deux villes, en arts visuels, en arts médiatiques et en cinéma. D’abord engagé dans une pratique expérimentale, ses premiers essais sont présentés au Festival des cinémas différents à Paris. De 2004 à 2012, il collabore à un groupe de recherche qui s’intéresse aux mutations du dispositif cinématographique impliquées par l’arrivée des écrans portatifs et interactifs.Son intérêt pour la fiction se développe en parallèle, et en 2008 il présente L’appel du vide, un premier court ouvertement narratif, dans plusieurs festivals à travers le monde. En 2011, son film M’ouvrir remporte le prix Jutra du meilleur court ou moyen métrage, après un parcours primé en festivals. Sigismond sans images, également plusieurs fois primé, fait partie de la compétition internationale à Clermont-Ferrand en 2017. Ses courts métrages explorent tous des genres différents, avec un seul point commun : la mise en doute du réel.